Hélène Guilmette et Philippe Sly à l’Orchestre symphonique de Québec, Karina Gauvin à l’Orchestre symphonique de Montréal et un geste de solidarité pour le San Diego Opera
samedi 29 mars 2014
29 mars 2014
(No 2014-13)
Pour célébrer ses 50 ans d’existence, le Chœur de l’Orchestre symphonique de Québec (OSQ) a invité la soprano Hélène Guilmette et le baryton-basse Philippe Sly pour un concert le mercredi 2 avril 2014. Seront entendus lors de ce concert anniversaire le Requiem de Gabriel Fauré ainsi que des extraits de oratorios Paulus de Félix Mendelssohn, Le Messie de Georg Friedrich Händel et La Création de Franz Joseph Haydn. L’OSQ sera dirigé par Jean-Martie Zeitouni et son Chœur par David Rompré. Le concert aura lieu à la salle Louis-Fréchette du Grand Théâtre de Québec et débutera à 20 h.
Quatre jeunes solistes pour le Requiem de Mozart par l’Orchestre du Conservatoire de musique de Montréal
Sous la direction de son chef Louis Lavigueur, l’Orchestre symphonique et le choeur du Conservatoire de musique de Montréal ainsi que le Choeur l’école secondaire Joseph-François-Perrault présenteront le Requiem de Wolfgang Amadeus Mozart le samedi 29 et dimanche 30 mars 2014. Quatre jeunes artistes lyriques assumeront les rôles de solistes : la soprano Sophie Neher, la mezzo-soprano Caroline Gélinas, le ténor François-Olivier Jean et la basse Philippe Courchesne-Leboeuf. La Symphonie nº 3 en fa majeur, op. 90 de Johannes Brahms est également au programme et une oeuvre d’un élève de la classe de composition du Conservatoire sera également créée. Les deux représentations auront lieu à l’Église Saint-Jean-Baptiste de Montréal siutée au 309, rue Rachel à Montréal, celle du samedi débutant 19 h 30 et celle du dimanche à 14 h.
Priez pour paix avec la soprano Pascale Beaudin dans le cadre de la saison de la Société d’art vocal de Montréal
Accompagnée par la pianiste Marie-Ève Scarfone, la soprano Pascale Beaudin présentera un récital à la salle de concert du Conservatoire de musique de Montréal le dimanche 30 mars 2014 à 15 h. Il y interprétera des pièces de Samuel Barber, Benjamin Britten, Henri Duparc, Francis Poulenc et Kurt Weill. Ce récital s’inscrit dans la saison 2013-2014 de la Société d’art vocal de Montréal. Pour plus de renseignements et retenir vos places, vous pouvez cliquer ici.
Pascale Beaudin
Le concert annuel du Choeur de l’Université de Montréal
Le Choeur de l’Université de Montréal présentera son concert annuel le mardi 1er avril 2014 à la salle Serge-Garant de l’université de Montréal à 19 h 30. Sous la direction de son chef Raymond Perrin, le Choeur interprétera des œuvres de Johannes Brahms, Franz Schubert et Ludwig van Beethoven.
Raymond Perrin
Les illuminations de Britten par la soprano Karina Gauvin et l’Orchestre symphonique de Montréal
Un grand moment lyrique s’annonce avec la venue à Montréal chef Michel Plasson le jeudi 3 avril 2014 à 20 h à la Maison symphonique de Montréal. Le réputé chef français dirigera l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) dans des oeuvres orchestrales d’Ernest Chausson, Claude Debussy et Gabriel Fauré. Karina Gauvin sera également de ce concert et interprétera quant à elle Les Illuminations de Benjamin Britten. Il est intéressant de rappeller que la soprano québécoise a enregistré ce cycle de mélodies du grand compositeur anglais sur étiquette Atma Classique et vous pouvez en écouter un extrait en cliquant ici. Une deuxième représentation de ce concert sera présenté le dimanche 6 avril à 14 h 30.
Le baryton-basse Rupert Bergman à la Chapelle historique du Bon-Pasteur
Originaire de Graz en Autriche, le baryton-basse Rupert Bergmann se joint à sa compatriote et la violoniste Katharina Radlberger ainsi qu’au pianiste Martin Dubé pour un concert où les cordes se marient à la voix. Avec un répertoire allant d’oeuvres des XVIIe au XXe siècles et des arrangements modernes, les artistes interpréteront des œuvres de Beethoven, Mozart, Sprongl, Strauss et Weinstein. Ce concert aura lieu à la Chapelle historique du Bon-Pasteur le jeudi 3 avril 2014 à compter de 20 h. L’entrée est gratuite et des laisser-passer sont disponibles depuis le 27 mars dernier.
Rupert Bergmann
Et deux productions…en préparation par la compagnie baroque de Montréal et Opéra immédiat
La Compagnie Baroque Mont-Royal répète actuellement l’opéra Semele de Georg Friedrich Haendel en vue de sa présentation le samedi 5 avril 2014. La direction musicale est de Susan Toman et la mise en scène seront de Jon David. Cet événement lyrique aura lieu à la salle de concert Victoria de Westmount à 19 h 30. Quant à Opéra immédiat, elle prépare sa deuxième production de la saison et jouera au Théâtre Rialto Lucia de Lamermoor de Gaetano Donizetti les samedi 5 et dimanche 6 avril 2014. La direction musicale sera assumée par Dominic Boulianne et la soprano Sophie de Cruz tiendra le rôle-titre. Je vous donnerai plus de détails sur ces deux productions dans le numéro du blogue lyrique de la semaine prochaine.
Hänsel und Gretel d’Engelbert Hunperdinck ou l’ambition trop peu mesurée de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal
Après avoir vu la production d’Hänsel und Gretel d’Engelbert Humperdinck par l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal lors de sa première du 22 mars 2014, l’on peut légitimement se demander si la décision de transporter l’événement annuel du Monument national à la salle Wilfrid-Pelletier était une décision artistique opportune. Bien que l’École nationale du cirque s’ajoutait cette année à l’École nationale de théâtre comme partenaire pour la production, il n’en demeure pas moins qu’une composante essentielle manquait à l’appel : un nombre significatif d’instrumentistes susceptibles de donner à la partition d’Humperdinck tous ses coloris et toutes ses nuances dans l’immense anphithéâtre de la Place des Arts. Dirigeant un ensemble de 30 musiciens et musiciennes de l’Orchestre métropolitain de Montréal, le chef Alain Trudel ne disposait donc pas des moyens nécessaires pour rendre justice à cette musique que l’on rapproche souvent à celle de Richard Wagner. L’immensité de la salle posait aussi un défi pour les jeunes artistes de l’Atelier lyrique. Seule la mezzo-soprano Emma Char a su projeter sa voix de façon satisfaisante tout au long de la soirée, le baryton Cairan Ryan y parvenant aussi à l’occasion. Et dans leur rôle respectif d’Hänsel et de Peter (le père), l’une et l’autre ont d’ailleurs offert les plus belles prestations vocales de la soirée. La voix de la soprano Frédérique Drolet ne possède pas la puissance qui s’impose. Cela est d’aillleurs perceptible dès le début de l’opéra lorsque le personnage de Gretel qu’elle incarne dialogue avec son frère Hänsel. En revanche, son jeu dramatique est convaincant et elle se revèle comme une actrice de premier plan. Si leurs voix sont claires et maîtrisées, France Bellemare et Rachèle Trremblay donnent l’impression d’avoir interverti leurs rôles de Gertrud (la mère) et de la sorcière. Ainsi, la mère d’Hänsel et de Gretel incarne bien davantage la méchanceté qui devrait pourtant être le propre de la sorcière. Dans son double rôle de la Fée rosée et du Marchand de sable, la soprano Florie Valiquette se distingue à nouveau et demeure l’une des artistes les plus prometteuses de l’atelier lyrique.
Emma Char (Hansel) et Frédérique Drolet (Gretel)
Hänsel und Gretel d’Engelbert Humperdinck
Opéra de Montréal, 2014
Comme il en avait exprimé l’intention, le metteur Hugo Bélanger réussit à « insérer l’opéra dans l’univers du conte », mais sa direction d’acteurs et d’actrices n’était pas toujours convaincante. L’intégration des éléments de cirque avec l’aide de la conceptrice circassienne Veronica Melis est plutôt réussie. De beaux moments visuels nous sont ainsi offerts et créent l’atmosphère féérique qui s’impose dans une production d’Hänsel et Gretel. Le décor conçu par Odile Gamache contribue à cette réussite, à l’exception de cette maison d’épices dont on comprend mal, vu notamment sa taille lilliputienne, comment elle peut attirer les enfants. Si les costumes des principaux personnages, et en particulier celui de Hansel, ne séduisent guère, ceux des acrobates participent de la féérie.
L’ambition trop peu mesurée de l’Opéra de Montréal doit repenser cet élément de sa programmation. Si elle n’a pas les moyens d’un accompagnement musical digne d’un opéra d’envergure comme celui d’Humperdinck, il faut retourner au Monument national ou choisir une salle de taille moyenne, comme le Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts où furent jadis présentées certaines productions de l’Opéra de Montréal. Il ne faut pas faire porter à l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal le poids d’une cinquième production de la compagnie qui ne donner à son atelier lyrique les moyens de ses ambitions. Et nous reviendrions sur ces ambitions en faisant le bilan, après la présentation en mai prochain, de la production de Turandot qui clôturera le 34e saison de l’Opéra de Montréal.
Pour d’autres commentaires sur la production d’Hänsel und Gretel, je vous invite à lire Marc-Oliver Laramée, « Un vent de fraîcheur à l’Opéra de Montréal », La Scena musicale, 23 mars 2014, Caroline Rodgers, « Opéra- Hansel et Gretel- Une production magique », La Presse, 24 mars 2014, Arthur Kaptainis, « From Hänsel to Handel: Spectacle and shiver factor », The Gazette, 24 mars 2014 et Christophe Huss, « De l’acceptabilité des compromis », Le Devoir, 28 mars 2014.
Un commentaire de Solomon de par Les Violons du Roy et la Chapelle de Québec
Pendant que j’étais à la salle Wilfrid-Pelletier pour entendre la première d’Hänsel et Gretel, mon collaborateur Justin Bernard assistait quant à lui à la présentation de Solomon de Georg Friedrich Haendel et a rédigé pour le blogue lyrique le commentaire qui suit :
Sous la direction de Bernard Labadie, Les Violons du Roy offraient une troisième et dernière représentation de Solomon à la Maison symphonique de Montréal le samedi 22 mars 2014. Les deux premières avaient eu lieu la veille et l’avant-veille au Palais Montcalm de Québec, lieu de résidence de l’orchestre de chambre reconnu mondialement pour ses interprétations du répertoire baroque.
Les Violons du Roy ont été pleinement à la hauteur de leur réputation. Ils n’en sont pas à leur premier oratorio d’Händel et ça s’entend. C’est avant tout la cohésion entre chaque section d’instruments qui a retenu notre attention. Il y avait les cordes, bien sûr, mais aussi la prestation du duo de flûtes, notamment à l’Arrivée de la Reine de Saba, célèbre prélude au troisième acte. La rapidité d’exécution et la précision des attaques de cet orchestre étaient remarquables, tout cela sous la baguette de Bernard Labadie.
De son côté, La Chapelle de Québec a fait la preuve, s’il en fallait une de plus, qu’il s’agit d’un chœur de très haut niveau. Il s’en dégageait une unité vocale comme on l’entend rarement. Divisé en deux chœurs de petite taille, composés d’une vingtaine de choristes chacun, l’ensemble a brillé à plusieurs reprises, notamment au début de l’acte II : les deux chœurs se répondaient aux mots de « Happy happy Solomon » dans un bel effet de va-et-vient. Certaines choristes se sont même montrées individuellement à leur avantage. La soprano Shannon Mercer et l’alto Krisztina Szabó ont rejoint les solistes invités sur le devant de la scène, faisant bonne figure dans les rôles respectifs de l’épouse de Salomon et de la deuxième femme. Certes, elles n’avaient pas la rondeur de sons et la chaleur des voix de Karina Gauvin et Marie-Nicole Lemieux. La contralto québécoise a rempli la salle de sa voix puissante, si riche en couleurs et en caractère. Elle était habillée dans un style masculin pour coller davantage au rôle-titre. Sa volonté d’incarner Salomon était manifeste, comme celle d’interagir avec les autres interprètes, même lorsqu’elle ne chantait pas. Karina Gauvin n’a pas interprété le rôle de la Reine de Saba avec la même ardeur, mais sa voix veloutée et son vibrato tout en finesse ont conquis le public. James Gilchrist a, quant à lui, une belle voix de ténor qui porte bien dans l’aigu, mais il a semblé submergé par les difficultés techniques, notamment dans les mélismes d’une extrême rapidité. Sur ce point, Bernard Labadie aurait pu faire preuve de plus d’indulgence et ralentir le tempo de quelques battements. Philippe Sly est loin d’avoir eu ce problème, gardant une voix légère et précise dans les attaques de doubles-croches. Il possède un timbre à la fois riche dans le grave et clair dans l’aigu, une belle combinaison qui fait défaut à beaucoup de basses et de barytons-basses.
Près de trois heures et demie de musique, interprétée par de grands musiciens. Une durée inhabituelle pour un concert de nos jours, mais quelle belle soirée !
Note : Le critique musical du journal Le Devoir Christophe Huss a également commenté cette présentation de Solomon dans un article publié le 24 mars 2014 et intitulé « Jugement limpide ».
Un geste de solidarité pour le San Diego Opera
Dans un geste qui a suscite une vive controverse dans le milieu lyrique, le Conseil d’administration du San Diego Opera a annoncé le 17 mars 2014 qu’il mettrait fin aux activités de la compagnie lyrique. Considéré comme l’une des dix plus importantes compagnies lyriques américaines et à la veille de célébrer son cinquantième anniversaire, le San Diego Opera fermerait ainsi ses portes au terme de la présente saison. Cette décision fait l’objet d’une contestation et je vous invite pour en savoir plus long sur les circonstances entourant cette décision l’article du critique musical du Los Angeles Times Mark Swed publié le sous le titre « A stirring Requiem for San Diego Opera’s senseless, premature death » ainsi que « Questions swirl around San Diego Opera Closure ». Et je vous incite surtout à poser un geste de solidarité et à joindre votre voix à celle des 17 199 personnes qui ont signé la pétition à ce jour que vous pouvez également signer en cliquant ici.
À l’émission L’opéra…. le dimanche aussi ! du dimanche 30 mars 2014, mon co-animateur Justin Bernard et moi-même ferons entendre en première partie d’émission de larges extraits du nouveau disque du baryton-basse Philippe Sly qui vient de paraître sur étiquette Analekta. Intitulé Love’s menstrels, le jeune artiste lyrique québécois y interprète des « folks songs » britanniques arrangés par Healy Willan ainsi que des ballades et chansons composés pars John Ireland, Roger Quilter et Gustava Holst. En deuxième partie d’émissions, nous recevons le directeur musical d’Opéra immédiat Dominic Boulianne pour parler de la production de Lucia de Lamermoor qui sera présentée au Théâtre Rialto à Montréal les 5 et 6 avril 2014. Je vous rappelle que vous pouvez syntoniser cette émission « en ondes radio » à Montréal (91,3 FM), Rimouski (104,1 FM), Sherbrooke (100,3 FM), Trois-rivières (89,00FM) et Victoriaville (89,3 FM). Elle peut être également écoutée en direct sur le site électronique de Radio Ville-Marie à l’adresse http://www.radiovm.com.
À l ’émission Place à l’opéra 2.0, Katerine Verebely prend la relève de l’animatrice Sylvia L’Écuyer cette semaine pour diffuser en direct du Metropolitan Opera de New York en ce samedi 29 mars 2014 La Sonnambula de Gaetano Donizetti. La distribution comprend Diana Damrau, soprano (Amina), Javier Camarena, ténor (Elvino), Michele Pertusi, basse (le comte Rodolfo); Rachelle Durkin, soprano (Lisa); Jordan Bisch, basse (Alessio); Elizabeth Bishop, mezzo (Teresa) et Bernard Fitch, ténor (notaire). Le Chœur et l’orchestre du Metropolitan Opera sous la direction de Marco Armiliato. À l’entracte, l’animatrice Katerine Verebely proposera une rencontre avec Jean-Philippe Thiellay, auteur du livre Vincenzo Bellini paru aux éditions Actes Sud en 2013. Aux actualités lyriques, elle s’entretiendra avec la soprano québécoise Karina Gauvin qui interprètera Les illuminations de Benjamin Britten avec l’Orchestre symphonique de Montréal. Elle proposera également une entrevue avec le chef David Rompré pour souligner le 50e anniversaire du Choeur de l’Orchestre symphonique de Québec. Pour plus d’informations sur l’émission d’aujourd’hui, vous pouvez cliquer ici. Je vous rappelle que l’émission n’est diffusée que sur l’internet (www.espace.mu) le samedi de 13 h à 17 h et qu’elle est rediffusée sur Espace musique le dimanche de 19 h à 23 h.
À son émission Saturday Afternoon at the Opera de CBC-Radio 2, l’animateur Ben Heppner retransmet aussi la production de La Sonnambula de Gaetano Donizetti du Metropolitan Opera de New York. La radiodiffusion sera suivie de l’émission Backstage with Ben Heppner. Je vous rappelle que ces émissions sont diffusées en « ondes radio » de 13 h à 17 h. L’émission Backstage with Ben Heppner sera reprise le dimanche 30 mars 2014 de 10 h à 11 h.
S’agissant des projections d’opéra,le Café d’art vocal présentera le samedi 29 mars 2014 à 12 h 3o l’opéra Lucrezia Borgia de Gaetano Donizetti dans une production du San Francisco Opera de 2011. La distribution comprend Renée Fleming, Michael Fabiano, Elizabeth DeShong et Vitalij Kowaljow. La direction musicale est de Riccardo Frizza et la mise en scène de John Pascoe. Une reprise est prévue pour le jeudi 3 avril à 18 h 30. Dans la série Opéramania, Michel Veilleux présentera et justifier le vendredi 4 avril 2014 sa sélection des dix plus grandes représentantes de la catégorie vocale de soprano ayant fait carrière depuis 1950. Il illustrera son propos par de nombreux extraits vidéo et quelques extraits audio. Cette soirée spéciale commencera à 19 h 30 et aura lieu à la salle Jean-Papineau-Couture (B-421) de la Faculté de musique de l’Université de Montréal.
La chaîne de télévision TFO présente le dimanche 30 mars 2014 à 20 h La fille de madame Angot de Charles Lecocq dans une production de l’Opéra de Lausanne de 2010. La distribution comprend notamment Jean-Sébastien Bou (Ange Pitou), Maryline Fallot (Mlle Lange), Bénédicte Tauran (Clairette Angot), Emilinao Gonzales Toro (Pomponnet) et Véronique Carrot (chef de cœur). La Sinfonietta de Lausanne est sous la direction de Nicolas Chalvin et la mise en scène est d’Anémone. Une reprise de cette télédiffusion est prévue pour le mardi 1er avril 2014 à 00 h 30. Je vous rappelle que le musicologue et directeur des communications de l’Opéra de Montréal Pierre Vachon présentera cette soirée lyrique.
La fille de madame Angot de Charles Lecocq
Opéra de Lausanne, 2010
TFO, 30 mars 2014
Bonne semaine lyrique…durant laquelle j’aurai le plaisir d’assister à Bruxelles à la création de l’opéra Au monde de Philippe Boesmans à La Monnaie!